Peillou m’avait appelé : « qu’est ce que tu fais l’été prochain ? Tu veux qu’on partage l’été ? Si tu veux démarrer berger, c’est parti ». J’étais comme un fou. Il m’a appris la seule soirée où il est resté avec moi à l’alpage. Le soir, on a trait, il est resté dormir et le lendemain il m’a montré comment faire les fromages. En partant, il m’a dit «C’est en forgeant qu’on devient forgeron. A dans un mois ». Il m’a laissé avec ses 300 brebis.